Dans les entreprises, la question de l’évaluation des compétences linguistiques se pose de plus en plus clairement, notamment lorsqu’elle conditionne une prime, une habilitation ou un poste sensible.
Beaucoup pensent encore qu’un formateur expérimenté suffit pour « positionner » un salarié. Or, c’est une idée reçue : un formateur n’a pas le statut ni la neutralité exigés pour garantir une évaluation fiable et opposable, surtout dans un contexte professionnel.
Un examinateur certifié par un organisme indépendant, comme le LILATE pour plus de dix langues, apporte plusieurs garanties :
Dans des contextes sensibles (sécurité, relation client, conformité réglementaire), un test certifiant externe est souvent la seule option pour :
Le LILATE, en particulier, permet d’évaluer plus de dix langues dans un cadre professionnel réel, avec des examinateurs formés pour adapter leurs questions à la réalité du poste et du secteur.
👉 Pour les RH, c’est un levier simple : s’assurer que les salariés disposent du bon niveau, reconnu par un certificat officiel, et que les primes ou habilitations reposent sur des bases solides.
En résumé : évaluer un niveau linguistique ne s’improvise pas. Passer par un examinateur habilité, c’est garantir une mesure juste, comparable et crédible. Et, à long terme, c’est protéger l’entreprise et ses salariés.